Bonjour à tous,
Le Groupement des Anciens Estacas au Canada vous invite à venir prendre une bière du terroir et des nachos gratinés au Saint Bock le jeudi 20 janvier à partir de 18h afin de faire connaissance et de partager un bon moment.
Le saint bock est situé au 1749 rue Saint Denis entre le métro Sherbrooke et Berri-uqam.
À des fins d'organisation, veuillez nous confirmer votre présence (ou absence) par mail.
Au plaisir de vous rencontrer et de vous offrir une bière le 20 !
Le GAEC
lundi 10 janvier 2011
samedi 1 janvier 2011
Bonne année 2011
le Groupement des Anciens estaca au Canada vous souhaite une très bonne année 2011 remplie de succès, de bonheur et de rencontres !
Vous ceux qui sont au Québec, nous vous proposons très prochainement un pot d'accueil pour cette nouvelle session qui commence!
Amicalement
Le GAEC
Vous ceux qui sont au Québec, nous vous proposons très prochainement un pot d'accueil pour cette nouvelle session qui commence!
Amicalement
Le GAEC
Trouver un emploi au Québec
Trouver un emploi peut se révéler une tâche ardue pour celui qui n’a ni diplôme du pays, ni expérience québécoise.
Si vous envisagez de vous installer au Québec, et que vous êtes toujours aux études, il existe de bonnes pratiques pour faciliter votre entrée sur le marché du travail:
■ Effectuer son stage de fin d’études au Québec
En effet, effectuer un simple semestre d’échange ne suffira pas à convaincre les employeurs de vous embaucher lorsque vous serez diplômé. En revanche, la position d’étudiant vous ouvre les portes des laboratoires. N’hésitez pas à insister longuement auprès de vos professeurs afin de vous renseigner sur leurs recherches – et celles de leurs collègues ! – et de leur proposer vos compétences en rapport avec celles-ci.
Si vous n’êtes pas étudiants en échange au Canada, sachez que de nombreux laboratoires offrent des stages aux étudiants de l’ESTACA.
Il vous est également possible de dénicher un stage en entreprise, sachez il sera très difficile de trouver un stage dans une boite totalement québécoise (même si ce n’est pas impossible), car ces sociétés traitent en général directement avec les universités. En revanche il y a nombre de sociétés françaises qui ont des filiales au Canada, ce peut – être un très bon point pour commencer ses recherches, sans oublier le département international de l’ESTACA…
■ Effectuer une maîtrise au Québec
Les maîtrises sont fréquemment débutées à l’issue d’un stage en laboratoire, néanmoins, il vous est tout à fait possible d’appliquer depuis la France (ou ailleurs). Ces programmes d’une durée moyenne de deux ans à temps plein peuvent être réalisés de deux manières:
1.En maîtrise cours, vous effectuerez une spécialisation dans votre domaine, ou dans un tout autre domaine, il existe des maîtrises applicables à tous les cursus de l’ESTACA, mais vous pouvez également choisir de faire de la robotique.
2.En maîtrise avec thèse, vous aurez à rédiger un mémoire sur un projet de recherche. Ce type de maîtrise est une véritable porte ouverte sur le monde universitaire
■ Trouver un emploi depuis la France
La façon la plus « sécurisante » pour celui qui travaille déjà en France.
Il vous est possible de trouver un emploi depuis la France si vous êtes extrêmement spécialisé et expérimenté dans un domaine. Ce genre de chose est arrivé chez Bombardier pour le recrutement d’ingénieurs spécialisés dans la dynamique des chocs et explosions mais également chez SNC-Lavallin qui recherche activement des spécialistes ferroviaires. Il existe forcément d’autres entreprises qui peuvent vous recruter depuis la France.
Lorsque vous êtes peu expérimentés, vous pouvez chercher du côté des sociétés de consulting. Certaines sociétés de consulting françaises sont désireuses de s’étendre outre-manche et pourront vous proposer de chercher une mission. Sachez que cela est voué à l’échec, les employeurs ici ne feront confiance qu’à une société qui possède une succursale sur le sol québécois. Il existe bien sur des sociétés qui exercent à la fois en France et au Québec, n’hésitez pas à frapper à leur porte.
Enfin une excellente voie est tenue par les VIE – Volontariat International en Entreprise -. Il faut avoir moins de 28 ans lors de l’inscription sur le site de recherche, et moins de 29 ans le jour du départ. Lors d’un VIE, vous êtes subventionnés par l’État français ce qui vous rend plus attractif pour une entreprise étrangère. De très nombreuses entreprises recrutent des VIE dont nombre d’entreprises française: ALSTOM Montréal et CS Canada par exemple.
■ Lorsque vous n’avez ni l’un ni l’autre
Lorsque vous arrivez au Québec sans diplôme ni expérience de travail sur le pays, sachez que la première expérience canadienne peut revêtir un caractère bloquant dans votre recherche d’emploi.
Aussi, il ne faut pas hésiter à dégotter une « jobbine » dans un premier temps, comprendre travailler comme préposé à la clientèle, comme dépanneur, comme vendeur. Les recruteurs seront beaucoup moins frileux à vous recevoir après une première expérience canadienne, même si celle ci n’a aucun rapport avec votre domaine d’emploi.
D’autre part, renseignez vous sur les secteurs en demande. Montréal est actuellement la ville du génie civil et des systèmes embarqués. Sachez qu’il est excessivement simple (voir conseillé) de suivre un cursus universitaire, de très nombreux choix sont offerts à temps plein, partiel, de jour, et du soir. Vous pouvez tout à fait disposer de compétences attractives pour les entreprises mais avec peu d’expérience et sans diplôme attitré, en programmation objet par exemple, dans ce cas, suivre une certification peut vous ouvrir des portes, avant même l’obtention de votre diplôme.
Enfin, n’oubliez pas que Montréal est une ville bilingue, et que le marché de l’ingénierie exigera pour la plupart d’entre vous un bon niveau d’anglais.
Si vous envisagez de vous installer au Québec, et que vous êtes toujours aux études, il existe de bonnes pratiques pour faciliter votre entrée sur le marché du travail:
■ Effectuer son stage de fin d’études au Québec
En effet, effectuer un simple semestre d’échange ne suffira pas à convaincre les employeurs de vous embaucher lorsque vous serez diplômé. En revanche, la position d’étudiant vous ouvre les portes des laboratoires. N’hésitez pas à insister longuement auprès de vos professeurs afin de vous renseigner sur leurs recherches – et celles de leurs collègues ! – et de leur proposer vos compétences en rapport avec celles-ci.
Si vous n’êtes pas étudiants en échange au Canada, sachez que de nombreux laboratoires offrent des stages aux étudiants de l’ESTACA.
Il vous est également possible de dénicher un stage en entreprise, sachez il sera très difficile de trouver un stage dans une boite totalement québécoise (même si ce n’est pas impossible), car ces sociétés traitent en général directement avec les universités. En revanche il y a nombre de sociétés françaises qui ont des filiales au Canada, ce peut – être un très bon point pour commencer ses recherches, sans oublier le département international de l’ESTACA…
■ Effectuer une maîtrise au Québec
Les maîtrises sont fréquemment débutées à l’issue d’un stage en laboratoire, néanmoins, il vous est tout à fait possible d’appliquer depuis la France (ou ailleurs). Ces programmes d’une durée moyenne de deux ans à temps plein peuvent être réalisés de deux manières:
1.En maîtrise cours, vous effectuerez une spécialisation dans votre domaine, ou dans un tout autre domaine, il existe des maîtrises applicables à tous les cursus de l’ESTACA, mais vous pouvez également choisir de faire de la robotique.
2.En maîtrise avec thèse, vous aurez à rédiger un mémoire sur un projet de recherche. Ce type de maîtrise est une véritable porte ouverte sur le monde universitaire
■ Trouver un emploi depuis la France
La façon la plus « sécurisante » pour celui qui travaille déjà en France.
Il vous est possible de trouver un emploi depuis la France si vous êtes extrêmement spécialisé et expérimenté dans un domaine. Ce genre de chose est arrivé chez Bombardier pour le recrutement d’ingénieurs spécialisés dans la dynamique des chocs et explosions mais également chez SNC-Lavallin qui recherche activement des spécialistes ferroviaires. Il existe forcément d’autres entreprises qui peuvent vous recruter depuis la France.
Lorsque vous êtes peu expérimentés, vous pouvez chercher du côté des sociétés de consulting. Certaines sociétés de consulting françaises sont désireuses de s’étendre outre-manche et pourront vous proposer de chercher une mission. Sachez que cela est voué à l’échec, les employeurs ici ne feront confiance qu’à une société qui possède une succursale sur le sol québécois. Il existe bien sur des sociétés qui exercent à la fois en France et au Québec, n’hésitez pas à frapper à leur porte.
Enfin une excellente voie est tenue par les VIE – Volontariat International en Entreprise -. Il faut avoir moins de 28 ans lors de l’inscription sur le site de recherche, et moins de 29 ans le jour du départ. Lors d’un VIE, vous êtes subventionnés par l’État français ce qui vous rend plus attractif pour une entreprise étrangère. De très nombreuses entreprises recrutent des VIE dont nombre d’entreprises française: ALSTOM Montréal et CS Canada par exemple.
■ Lorsque vous n’avez ni l’un ni l’autre
Lorsque vous arrivez au Québec sans diplôme ni expérience de travail sur le pays, sachez que la première expérience canadienne peut revêtir un caractère bloquant dans votre recherche d’emploi.
Aussi, il ne faut pas hésiter à dégotter une « jobbine » dans un premier temps, comprendre travailler comme préposé à la clientèle, comme dépanneur, comme vendeur. Les recruteurs seront beaucoup moins frileux à vous recevoir après une première expérience canadienne, même si celle ci n’a aucun rapport avec votre domaine d’emploi.
D’autre part, renseignez vous sur les secteurs en demande. Montréal est actuellement la ville du génie civil et des systèmes embarqués. Sachez qu’il est excessivement simple (voir conseillé) de suivre un cursus universitaire, de très nombreux choix sont offerts à temps plein, partiel, de jour, et du soir. Vous pouvez tout à fait disposer de compétences attractives pour les entreprises mais avec peu d’expérience et sans diplôme attitré, en programmation objet par exemple, dans ce cas, suivre une certification peut vous ouvrir des portes, avant même l’obtention de votre diplôme.
Enfin, n’oubliez pas que Montréal est une ville bilingue, et que le marché de l’ingénierie exigera pour la plupart d’entre vous un bon niveau d’anglais.
Faire reconnaitre son diplôme d'ingénieur
La reconnaissance de diplôme français est très simple pour un estacien, et à fortiori pour tout ingénieur français dont l’ école est reconnue par la CTI. Cela prend au pire 1.5 mois car ils n’ont qu’une seule session d’examen chaque mois.
Le document à remplir se trouve sur le site de l’OIQ (Ordre des Ingénieurs du Québec), devenir membre de l’ordre puis, diplôme étranger. Il faut bien remplir toutes les sections y compris celles des examens préférés s’il faut en passer (mais il n’y en a pas pour un diplômé reconnu de la CTI).
Pour obtenir le permis d’ingénieur junior
L’ordre peut valider jusqu’à 24 mois d’expérience étrangère (il en faut 36 pour devenir ingénieur) et les stages comptent pour moitié, aussi il est très important de faire parvenir:
■Les conventions de stage ou une fiche de poste,
■Une lettre de recommandation pour chaque poste,
■Pour les stages, le relevé d’évaluation rempli par le tuteur (j’ai toujours demandé le mien avant envoi à l’école), et le papier officiel de note,
■Pour chaque expérience, un document rédigé soit même et signé par la hiérarchie,
■Quel que soit votre expérience, vous débuterez donc comme Ingénieur Junior, sans droit de minuter des documents !
■Si vous souhaitez accélérer le processus d’acquisition de l’expérience, vous pourrez demander un parrainage.
■Il faudra aussi fournir comme documents obligatoires:
■Un extrait de naissance (à demander en ligne mais ils n’envoient pas encore par mail donc seulement depuis la France),
■Une photo format passeport. Attention le format passeport est différent entre la France et le Canada !
■Un résumé au format québécois, en français,
■Une copie du diplôme,
■S’il y a lieu, des attestations de participation à des activités de formation ou de perfectionnement depuis l’obtention du diplôme en génie,
■Un relevé officiel de notes de l’ESTACA, ou de votre école, pour TOUTES les années, ne sont considérés comme officiels que les relevés envoyés par l’École à l’OIQ.
Au Québec, les universités offrent un service (payant) d’émission de relevés de notes certifiés, ce n’est pas le cas en France bien que votre école archivera vos bulletins. Une recherche 5 ans après peut donc prendre une tournure cauchemardesque pour celle-ci. Aussi, ce j’ai fais à titre personnel, c’est d’aller voir mon école avec mes bulletins originaux, on les a photocopiés deux fois et sur chaque copie nous avons mis une mention: Conforme à l’original, la date, les initiales, une signature et un tampon de l’école. J’ai pris un jeu avec moi que j’ai apporté à l’ordre et l’autre restait en France pour envoi au cas ou ils le demanderaient.
Cette procédure est pratiquée par toutes les universités pour les maitrises aussi je vous conseille d’avoir plusieurs jeux signés.
Les frais sont de 137$.
Il est possible de faire sa demande depuis la France par courrier, néanmoins, l’ordre demande a voir les originaux. Comme il était hors de question d’envoyer les originaux par la poste j’ai attendu d’être ici pour le faire. Ils tiennent leur réunion le 15 il suffit donc présenter un dossier le 5 du mois au plus tard et vous n’aurez qu’à attendre jusqu’au 27 avant de bénéficier du RIQ. Les relevés de notes ne sont pas récupérables.
Il n’est pas nécessaire d’être ingénieur pour travailler sur un poste d’ingénieur mais il est interdit de se mentionner comme tel présenter comme tel. Sur votre CV vous écrirez « Diplômé en Génie ».
A titre d’exemple, nos développeurs français ne sont pas inscrits a l’ordre car ca ne leur sert pas pour travailler mais apres 5 ans ils perdent la reconnaissance automatique et par la suite, seuls 24 mois d’expérience leurs seraient comptés !
Il est obligatoire d’etre ingénieur pour signer des documents.
Le document à remplir se trouve sur le site de l’OIQ (Ordre des Ingénieurs du Québec), devenir membre de l’ordre puis, diplôme étranger. Il faut bien remplir toutes les sections y compris celles des examens préférés s’il faut en passer (mais il n’y en a pas pour un diplômé reconnu de la CTI).
Pour obtenir le permis d’ingénieur junior
L’ordre peut valider jusqu’à 24 mois d’expérience étrangère (il en faut 36 pour devenir ingénieur) et les stages comptent pour moitié, aussi il est très important de faire parvenir:
■Les conventions de stage ou une fiche de poste,
■Une lettre de recommandation pour chaque poste,
■Pour les stages, le relevé d’évaluation rempli par le tuteur (j’ai toujours demandé le mien avant envoi à l’école), et le papier officiel de note,
■Pour chaque expérience, un document rédigé soit même et signé par la hiérarchie,
■Quel que soit votre expérience, vous débuterez donc comme Ingénieur Junior, sans droit de minuter des documents !
■Si vous souhaitez accélérer le processus d’acquisition de l’expérience, vous pourrez demander un parrainage.
■Il faudra aussi fournir comme documents obligatoires:
■Un extrait de naissance (à demander en ligne mais ils n’envoient pas encore par mail donc seulement depuis la France),
■Une photo format passeport. Attention le format passeport est différent entre la France et le Canada !
■Un résumé au format québécois, en français,
■Une copie du diplôme,
■S’il y a lieu, des attestations de participation à des activités de formation ou de perfectionnement depuis l’obtention du diplôme en génie,
■Un relevé officiel de notes de l’ESTACA, ou de votre école, pour TOUTES les années, ne sont considérés comme officiels que les relevés envoyés par l’École à l’OIQ.
Au Québec, les universités offrent un service (payant) d’émission de relevés de notes certifiés, ce n’est pas le cas en France bien que votre école archivera vos bulletins. Une recherche 5 ans après peut donc prendre une tournure cauchemardesque pour celle-ci. Aussi, ce j’ai fais à titre personnel, c’est d’aller voir mon école avec mes bulletins originaux, on les a photocopiés deux fois et sur chaque copie nous avons mis une mention: Conforme à l’original, la date, les initiales, une signature et un tampon de l’école. J’ai pris un jeu avec moi que j’ai apporté à l’ordre et l’autre restait en France pour envoi au cas ou ils le demanderaient.
Cette procédure est pratiquée par toutes les universités pour les maitrises aussi je vous conseille d’avoir plusieurs jeux signés.
Les frais sont de 137$.
Il est possible de faire sa demande depuis la France par courrier, néanmoins, l’ordre demande a voir les originaux. Comme il était hors de question d’envoyer les originaux par la poste j’ai attendu d’être ici pour le faire. Ils tiennent leur réunion le 15 il suffit donc présenter un dossier le 5 du mois au plus tard et vous n’aurez qu’à attendre jusqu’au 27 avant de bénéficier du RIQ. Les relevés de notes ne sont pas récupérables.
Il n’est pas nécessaire d’être ingénieur pour travailler sur un poste d’ingénieur mais il est interdit de se mentionner comme tel présenter comme tel. Sur votre CV vous écrirez « Diplômé en Génie ».
A titre d’exemple, nos développeurs français ne sont pas inscrits a l’ordre car ca ne leur sert pas pour travailler mais apres 5 ans ils perdent la reconnaissance automatique et par la suite, seuls 24 mois d’expérience leurs seraient comptés !
Il est obligatoire d’etre ingénieur pour signer des documents.
Quelques informations sur le PVT
Le Permis Vacance Travail, de son petit nom PVT, est un permis de travail non renouvelable d’une année accessible à tout français, et tout belge depuis peu, sous réserves de conditions financières. Il fait partie du Programme de l’Expérience Internationale au Canada, anciennement Programme de Mobilité des Jeunes.
Initialement, le but d’un tel permis est de permettre les longs séjours de vacances tout en ayant le droit de travailler afin de ne pas sacrifier ses ressources financières. Vous pouvez donc vous offrir une année sabbatique et visiter l’ensemble du Canada, tout en effectuant de menus travaux pour financer votre séjour. Ceci explique qu’il n’y ai aucune condition en termes d’emplois en demande pour appliquer à ce programme.
Ce visa a été détourné de son objectif premier en permettant entre autres:
- De venir trouver votre premier emploi dans votre domaine en vue d’une installation, grâce à une procédure courte et peu coûteuse
- De venir vous installer alors que vous êtes en procédure d’immigration et en attente d’une réponse
Sachez que ces deux façons de faire sont officiellement déconseillées par le Canada, en effet rien n’indique qu’un visa de résidence permanente vous sera attribué à l’issue de votre PVT et vous pourriez devoir retourner vivre en France. Il existe un précédent récent d’un couple ayant établi une entreprise au Québec et s’étant vu enjoints de quitter le pays suite au refus de leur résidence permanente, leur fille étant atteinte d’une affection non admise à l’immigration. Si cela peut paraitre dur, sachez que le Canada averti très régulièrement les immigrants des risques à s’installer avant d’avoir obtenu son visa. Il s’agit donc d’un choix personnel en toute connaissance de cause.
De plus, sachez que lors d’un PVT vous ne pourrez pas appliquer à la résidence permanente depuis le Canada, ni prétendre au Programme de l’Expérience Québecoise, pour ceux qui s’établiraient au Québec (ceci reste à vérifier toutefois).
Il est donc bien clair que le PVT n’est pas considéré comme un visa ouvrant à une possibilité d’immigration, contrairement à un permis de travail temporaire où un permis d’études qui eux sont liés à une demande du marché du travail.
Enfin, sachez que le PVT ne vous autorise pas à étudier, et ne peut être cumulé à un permis d’études, cette option ne peut donc être envisagée pour travailler durant ses études.
Le contexte étant établi, passons maintenant aux détails pratiques. Pour appliquer au Programme de l’Expérience Internationale vous devez remplir les conditions suivantes:
■être âgé de 18 à 35 ans inclusivement à la date de réception de la demande
■être de nationalité française et résider habituellement en France (France métropolitaine, les DOM et Saint-Pierre-et-Miquelon seulement)
■être titulaire d’un passeport français valide (sa validité doit dépasser d’au moins un jour le séjour prévu au Canada)
■ne pas avoir déjà participé à cette catégorie
■disposer de ressources financières suffisantes pour subvenir à vos besoins au Canada pour les trois premiers mois de votre séjour (700€ / 1 000$CAD par mois)
■avoir une assurance maladie/hospitalisation/rapatriement valide pour la durée du séjour. La preuve de cette assurance devra être présentée à un agent à l’arrivée au Canada.
Source: Ambassade du Canada années 2010/2011 – Sujet à changements
Veuillez noter que dès réception de la lettre d’acceptation au programme vous êtes considéré comme ayant participé au programme, que vous partiez ou non, et ne pourrez donc bénéficier à nouveau d’un PVT.
Sachez également que la preuve de fond est l’élément essentiel de votre dossier, n’hésitez donc pas à solliciter des documents écrits et signés de votre banque attestant de la provision régulière de fonds. Le PVT souffre en moyenne 2% de refus chaque année, essentiellement à cause des moyens financiers.
Sachez également que 1000$/mois sont suffisants pour séjourner à Montréal et vivre sans se priver, sous réserve de vivre en collocation avec un loyer ne dépassant pas 350$ tout inclus. Cette somme était estimée à 700$ en 2006.
Pour finir, sachez que les PVT sont soumis à quotas comme tous les programmes de mobilité internationale. L’ouverture des applications aux PVT se fait chaque année en novembre, le quota est épuisé fin janvier. Sachez également que vous aurez un an pour partir à réception de votre lettre d’acceptation, vous pouvez donc appliquer en janvier et partir en décembre, ceci n’entamera pas la durée de votre visa qui sera d’une année à compter de votre passage à l’immigration.
Maintenant que vous êtes bien au courant de toutes les subtilités, voici la procédure pour appliquer à un PVT, simulée par votre serviteur, attention, les liens peuvent changer d’une année à l’autre et devenir des liens morts, dans tous les cas, rendez vous sur le site web de l’ambassade du Canada à Paris pour les informations les plus à jour:
1.Faire une demande de trousse d’application, fournissez une adresse de courriel, un lien vous y sera envoyé
2.Cliquer sur le lien confirme votre adresse mail et vous renvoie sur une page de renseignements personnels, remplissez là et un lien vous sera envoyé vers votre trousse d’application. Les trousses sont personnalisées, c’est à dire que les renseignements remplis seront mentionnés dans les pdf reçus.
3.La trousse est complète, c’est à dire qu’aucun document annexe ne sera exigé, mais vous devrez toutefois fournir
1.Un résumé en français,
2.Une lettre de motivation,
3.Les photocopies des pages d’identification de votre passeport,
4.2 photos au format passeport,
4.Complétez la liste de contrôle, celle ci vous garantira que votre dossier est complet, un dossier incomplet ne sera pas mis en attente mais purement et simplement refusé. De plus, lisez attentivement le formulaire de déclaration qui vous engage quand aux membres de votre famille et à votre intention de quitter le Canada. Ceci pourra être retourné contre vous dans le cas ou un visa de résidence permanente vous serait refusé alors que vous auriez trouvé un emploi sur le sol canadien.
5.Envoyez le dossier à l’adresse postale indiquée. Le paiement des frais se fait désormais à l’acceptation du dossier. Veuillez prendre note attentivement des conditions de paiement, un paiement effectué trop tôt conduira au rejet de votre dossier.
6.Votre lettre d’acceptation sera envoyée par e-mail uniquement, veillez donc à surveiller vos filtres anti spam…
Initialement, le but d’un tel permis est de permettre les longs séjours de vacances tout en ayant le droit de travailler afin de ne pas sacrifier ses ressources financières. Vous pouvez donc vous offrir une année sabbatique et visiter l’ensemble du Canada, tout en effectuant de menus travaux pour financer votre séjour. Ceci explique qu’il n’y ai aucune condition en termes d’emplois en demande pour appliquer à ce programme.
Ce visa a été détourné de son objectif premier en permettant entre autres:
- De venir trouver votre premier emploi dans votre domaine en vue d’une installation, grâce à une procédure courte et peu coûteuse
- De venir vous installer alors que vous êtes en procédure d’immigration et en attente d’une réponse
Sachez que ces deux façons de faire sont officiellement déconseillées par le Canada, en effet rien n’indique qu’un visa de résidence permanente vous sera attribué à l’issue de votre PVT et vous pourriez devoir retourner vivre en France. Il existe un précédent récent d’un couple ayant établi une entreprise au Québec et s’étant vu enjoints de quitter le pays suite au refus de leur résidence permanente, leur fille étant atteinte d’une affection non admise à l’immigration. Si cela peut paraitre dur, sachez que le Canada averti très régulièrement les immigrants des risques à s’installer avant d’avoir obtenu son visa. Il s’agit donc d’un choix personnel en toute connaissance de cause.
De plus, sachez que lors d’un PVT vous ne pourrez pas appliquer à la résidence permanente depuis le Canada, ni prétendre au Programme de l’Expérience Québecoise, pour ceux qui s’établiraient au Québec (ceci reste à vérifier toutefois).
Il est donc bien clair que le PVT n’est pas considéré comme un visa ouvrant à une possibilité d’immigration, contrairement à un permis de travail temporaire où un permis d’études qui eux sont liés à une demande du marché du travail.
Enfin, sachez que le PVT ne vous autorise pas à étudier, et ne peut être cumulé à un permis d’études, cette option ne peut donc être envisagée pour travailler durant ses études.
Le contexte étant établi, passons maintenant aux détails pratiques. Pour appliquer au Programme de l’Expérience Internationale vous devez remplir les conditions suivantes:
■être âgé de 18 à 35 ans inclusivement à la date de réception de la demande
■être de nationalité française et résider habituellement en France (France métropolitaine, les DOM et Saint-Pierre-et-Miquelon seulement)
■être titulaire d’un passeport français valide (sa validité doit dépasser d’au moins un jour le séjour prévu au Canada)
■ne pas avoir déjà participé à cette catégorie
■disposer de ressources financières suffisantes pour subvenir à vos besoins au Canada pour les trois premiers mois de votre séjour (700€ / 1 000$CAD par mois)
■avoir une assurance maladie/hospitalisation/rapatriement valide pour la durée du séjour. La preuve de cette assurance devra être présentée à un agent à l’arrivée au Canada.
Source: Ambassade du Canada années 2010/2011 – Sujet à changements
Veuillez noter que dès réception de la lettre d’acceptation au programme vous êtes considéré comme ayant participé au programme, que vous partiez ou non, et ne pourrez donc bénéficier à nouveau d’un PVT.
Sachez également que la preuve de fond est l’élément essentiel de votre dossier, n’hésitez donc pas à solliciter des documents écrits et signés de votre banque attestant de la provision régulière de fonds. Le PVT souffre en moyenne 2% de refus chaque année, essentiellement à cause des moyens financiers.
Sachez également que 1000$/mois sont suffisants pour séjourner à Montréal et vivre sans se priver, sous réserve de vivre en collocation avec un loyer ne dépassant pas 350$ tout inclus. Cette somme était estimée à 700$ en 2006.
Pour finir, sachez que les PVT sont soumis à quotas comme tous les programmes de mobilité internationale. L’ouverture des applications aux PVT se fait chaque année en novembre, le quota est épuisé fin janvier. Sachez également que vous aurez un an pour partir à réception de votre lettre d’acceptation, vous pouvez donc appliquer en janvier et partir en décembre, ceci n’entamera pas la durée de votre visa qui sera d’une année à compter de votre passage à l’immigration.
Maintenant que vous êtes bien au courant de toutes les subtilités, voici la procédure pour appliquer à un PVT, simulée par votre serviteur, attention, les liens peuvent changer d’une année à l’autre et devenir des liens morts, dans tous les cas, rendez vous sur le site web de l’ambassade du Canada à Paris pour les informations les plus à jour:
1.Faire une demande de trousse d’application, fournissez une adresse de courriel, un lien vous y sera envoyé
2.Cliquer sur le lien confirme votre adresse mail et vous renvoie sur une page de renseignements personnels, remplissez là et un lien vous sera envoyé vers votre trousse d’application. Les trousses sont personnalisées, c’est à dire que les renseignements remplis seront mentionnés dans les pdf reçus.
3.La trousse est complète, c’est à dire qu’aucun document annexe ne sera exigé, mais vous devrez toutefois fournir
1.Un résumé en français,
2.Une lettre de motivation,
3.Les photocopies des pages d’identification de votre passeport,
4.2 photos au format passeport,
4.Complétez la liste de contrôle, celle ci vous garantira que votre dossier est complet, un dossier incomplet ne sera pas mis en attente mais purement et simplement refusé. De plus, lisez attentivement le formulaire de déclaration qui vous engage quand aux membres de votre famille et à votre intention de quitter le Canada. Ceci pourra être retourné contre vous dans le cas ou un visa de résidence permanente vous serait refusé alors que vous auriez trouvé un emploi sur le sol canadien.
5.Envoyez le dossier à l’adresse postale indiquée. Le paiement des frais se fait désormais à l’acceptation du dossier. Veuillez prendre note attentivement des conditions de paiement, un paiement effectué trop tôt conduira au rejet de votre dossier.
6.Votre lettre d’acceptation sera envoyée par e-mail uniquement, veillez donc à surveiller vos filtres anti spam…
Des informations sur le CSQ
La demande de Certificat de Sélection du Québec (CSQ) est le parcours le plus usuel pour un francophone désireux de s’installer au Canada, lorsqu’il n’y réside pas déjà à titre de travailleur temporaire ou d’étudiant.
Bien sur vous pouvez également faire une demande des provinces si vous estimez que leurs conditions sont plus avantageuses, mais cela n’est pas recommandé si vous remplissez les conditions québécoises. En effet, le Canada n’a pas d’intérêt particulier à faire venir des travailleurs francophones. Le Québec, si. Votre demande n’en sera donc traitée que plus vite. Une demande de CSQ est traitée généralement en 6 mois pour une personne de nationalité française. Les délais peuvent monter jusqu’à 3 années autrement.
Pour appliquer il suffit de constituer un dossier, l’application suivra ensuite son cours sans votre intervention, vous serez éventuellement convoqué à une entrevue de sélection et obtiendrez votre CSQ à cette occasion.
La sélection dans la catégorie travailleur économique se fait sur l’obtention d’un nombre de points après examen de votre dossier.
Aux différents stades d’examens, si vous atteignez le seuil de points, vous continuez. Dans le cas contraire, votre dossier est rejeté. Celui ci peut aussi être ajourné pour une certaine durée fixée par le Bureau d’Immigration du Québec, cela sera par exemple le cas si vous attendez d’être diplôme, l’obtention vous faisant franchir la barre.
Barème des points et seuils d’admissibilité depuis le 14 octobre 2009
Bien sur vous pouvez également faire une demande des provinces si vous estimez que leurs conditions sont plus avantageuses, mais cela n’est pas recommandé si vous remplissez les conditions québécoises. En effet, le Canada n’a pas d’intérêt particulier à faire venir des travailleurs francophones. Le Québec, si. Votre demande n’en sera donc traitée que plus vite. Une demande de CSQ est traitée généralement en 6 mois pour une personne de nationalité française. Les délais peuvent monter jusqu’à 3 années autrement.
Pour appliquer il suffit de constituer un dossier, l’application suivra ensuite son cours sans votre intervention, vous serez éventuellement convoqué à une entrevue de sélection et obtiendrez votre CSQ à cette occasion.
La sélection dans la catégorie travailleur économique se fait sur l’obtention d’un nombre de points après examen de votre dossier.
Aux différents stades d’examens, si vous atteignez le seuil de points, vous continuez. Dans le cas contraire, votre dossier est rejeté. Celui ci peut aussi être ajourné pour une certaine durée fixée par le Bureau d’Immigration du Québec, cela sera par exemple le cas si vous attendez d’être diplôme, l’obtention vous faisant franchir la barre.
Barème des points et seuils d’admissibilité depuis le 14 octobre 2009
Vous pourrez remarquer que seul le critère financier est éliminatoire, en effet vous n’avez droit à aucune prestation sociale financière sous trois mois de présence, le Québec requiert donc que vous ayiez une totale autonomie financière pour cette période là.
Voici quelques documents afin de vous permettre d’évaluer vos points liés à votre formation et à votre expérience de travail:
Liste des domaines de formation
Liste des domaines privilégiés
Reconnaissance de votre expérience professionnelle
Dans le second cas, votre CSQ peut vous être attribué sous une durée de deux semaines. Cela ne réduira en rien le délai fédéral.
Avant de présenter votre dossier, vous pouvez exposer un test en ligne. Ce test ne garanti en rien votre admission mais il est représentatif de vos chances:
Évaluation préliminaire d’Immigration
Remplir son dossier d’immigration
Remplir le dossier d’immigration nécessite de la rigueur, voici quelques conseils:
■Tout d’abord, je vous suggère de rédiger une lettre de motivation – facultatif -
■Joignez une liste des documents joints,
■Insistez auprès de votre mairie pour obtenir une certification conforme de vos photocopies,
■Rédigez une déclaration sur l’honneur indiquant les documents certifiés par vos soins uniquement et justifiez cet état de fait, précisez que vous tenez les originaux à disposition,
■Joignez tous les documents annexes pouvant jouer en votre faveur et non réclamés par le Québec, exemple: CAQ si vous avez étudiez, et relevé de notes de l’institution,
■Demandez systématiquement, à tous vos employeurs, une reconnaissance de l’expérience de travail acquise,
■Joignez tous vos bulletins de notes, depuis le collège.
Procurez vous ensuite les documents suivants sur le site de l’ambassade:
Marche à suivre avant d’aller plus loin
1.Demande de certificat de sélection
2.Contrat d’autonomie financière
3.Déclaration des époux ou conjoints de faits
4.Déclaration des enfants à charge de 22 ans ou plus ou qui est marié ou conjoint de fait
5.Déclaration d’un candidat exerçant une profession réglementée ou régie par un ordre professionnel – Applicable aux ingénieurs -
6.Déclaration d’un membre de la parenté
7.Paiement par carte
8.Liste de contrôle établie par vos soins
Professions régies par un ordre professionnel
Veuillez noter que cette liste n’est pas exhaustive et concerne uniquement les formulaires annexes requis par le Québec, d’autres annexes sont demandées. D’autres formulaires s’appliquent pour les médecins et les métiers de la construction
Liste exhaustive des documents et formulaires à joindre à votre demande d’immigration
Note: La déclaration d’intention de résider au Québec se fait au stade du dossier fédéral et est à joindre à votre CSQ.
Stage au Lamsi, les impressions de Boris
Après un semestre d’étude au Canada, j’ai effectué mon stage de quatrième année au LAMSI Laboratoire sur les Alliages à Mémoire et Systèmes Intelligents) à l’université de l’ETS à Montréal. Ce laboratoire situé au cœur d’une grande université, propose des sujets très intéressant qui m’ont fait découvrir le monde de la recherche.
J’ai travaillé sur l’étude du potentiel de réduction de trainée d’une aile à extrados adaptatif. Ce concept novateur est une aile d’avion qui utilise les propriétés des matériaux à mémoire de forme pour adapter l’aérodynamisme de l’aile aux conditions de vol de l’avion. Concrètement, lors du décollage, les conditions étant très variantes, l’extrados de l’aile va se bomber, améliorant le coefficient de trainée de celle-ci , permettant donc une réduction de la consommation de carburant. Mon stage s’est inscrit dans la continuité de l’ambitieux projet CRIAQ (Consortium de recherche et d’innovation en aérospatiale au Québec). Accompagné et aidé d’un doctorant des plus disponible, j’ai pu toucher à plusieurs parties du projet tout en apportant une plus value à celui-ci, ce qui est plutôt valorisant.
D’autre part, le travail sans stresse et les horaires souples, m’ont permis de profiter amplement de la vie montréalaise tout au long de mon séjour. Dans la globalité, l’ensemble de l’équipe du LAMSI m’a accueillie chaleureusement et je suis particulièrement content de mon stage.
J’ai trouvez ce stage grâce au GAEC qui m’a conseillé et aidé dans mes recherches, donc vous l’aurez compris, ne ratez pas cette belle expérience et n’hésitez pas à les contacter.
J’ai travaillé sur l’étude du potentiel de réduction de trainée d’une aile à extrados adaptatif. Ce concept novateur est une aile d’avion qui utilise les propriétés des matériaux à mémoire de forme pour adapter l’aérodynamisme de l’aile aux conditions de vol de l’avion. Concrètement, lors du décollage, les conditions étant très variantes, l’extrados de l’aile va se bomber, améliorant le coefficient de trainée de celle-ci , permettant donc une réduction de la consommation de carburant. Mon stage s’est inscrit dans la continuité de l’ambitieux projet CRIAQ (Consortium de recherche et d’innovation en aérospatiale au Québec). Accompagné et aidé d’un doctorant des plus disponible, j’ai pu toucher à plusieurs parties du projet tout en apportant une plus value à celui-ci, ce qui est plutôt valorisant.
D’autre part, le travail sans stresse et les horaires souples, m’ont permis de profiter amplement de la vie montréalaise tout au long de mon séjour. Dans la globalité, l’ensemble de l’équipe du LAMSI m’a accueillie chaleureusement et je suis particulièrement content de mon stage.
J’ai trouvez ce stage grâce au GAEC qui m’a conseillé et aidé dans mes recherches, donc vous l’aurez compris, ne ratez pas cette belle expérience et n’hésitez pas à les contacter.
Estaca - Paris à Saclay en 2014
En 2014, l'estaca - Paris s'implantera sur le site de Saclay suite au vote de l'AGO.
Vous trouverez les détails sur le site de l'estaca.
Bonne année 2011 à tous !
Vous trouverez les détails sur le site de l'estaca.
Bonne année 2011 à tous !
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